» L’existence du trouble de la personnalité borderline à l’adolescence a fait l’objet de nombreuses controverses », a rappelé le pédopsychiatre. La difficulté à évaluer ce trouble est, en effet, renforcée face à des comportements excessifs, jugés normaux à cet âge, qu’il faut pouvoir distinguer des manifestations cliniques associées à la pathologie psychiatrique. «
Au cours de son intervention, le
Il enseigne aux cliniciens ce qu’il faut faire et comment le faire et ce qu’il ne faut pas faire et comment l’éviter. Des interventions cognitives, comportementales et psychodynamiques pratiques et simples à mettre en place.
La psychoéducation est un élément important y compris le rôle de la génétique et l’évolution attendue de la maladie. Son approche offre des avantages à la fois aux praticiens, et aux patients qui sont encouragés à avoir des espoirs réalistes et à se concentrer sur des stratégies pour faire face aux troubles de la personnalité borderline dans la vie quotidienne.